Nantes et Rennes sont régulièrement à l’honneur dans les palmarès des villes les plus attractives de France. Si elles ont chacune leur caractère, elles ont également beaucoup de points communs : vivantes mais pas trop grandes, festives, culturelles et traditionnelles à la fois, dynamiques autant sur le plan économique que sur l’agenda événementiel, il y fait bon vivre et travailler. Toutes deux sont proches de l’océan ce qui attirent chaque année de plus en plus de Parisiens désireux de changer de vie et plus généralement des urbains, des métropolitains qui rêvent de devenir des périurbains « enracinés » dans des villes revitalisées mais à dimension humaines
L’arrivée brutale de la pandémie du Covid-19 associée à une situation de confinement accélèrera-t-elle le phénomène de «crise» du modèle métropolitain ? Quoiqu’il arrive, ce que nous vivons actuellement va sans doute accélérer la relocalisation de la chaîne de valeur de l’activité de fabrication et production du logement.
André Yché, le président du directoire de CDC Habitat, la filiale de la Caisse des Dépôts dédiée au logement, partage cette interrogation et se demande « si nous n’allons pas connaître des inflexions du modèle résidentiel métropolitain en faveur d’un enracinement dans des villes moyennes revitalisées par le développement probable du télétravail » (interview dans la Tribune.fr du 20 avril 2020).
Dans cette vision, Nantes et Rennes ont un supplément d’attractivité à offrir. Elles disposent en effet d’atouts qui font d’elles des secteurs d’investissement privilégiés à garder à l’esprit une fois le déconfinement arrivé. Parfaitement desservies par les axes de transport, bénéficiant d’un bassin d’emploi prospère, non loin d’une nature généreuse et d’un océan ressourçant, leur capacité à proposer un bon investissement immobilier se trouve naturellement renforcé.
Que ce soit en investissement local dans une perspective patrimoniale ou en achat de résidence principale, nos 2 métropoles bretonnes offrent de quoi nourrir tous les projets immobiliers. Il y a un an, Rennes et Nantes comptaient respectivement 16% et 18% d’acheteurs de plus que de vendeurs de biens immobiliers. Au 1er mars 2020, ces taux atteignaient 27% et 30%. Des indicateurs montrant, s’il fallait encore s’en convaincre, que ces deux villes gardent un fort dynamisme sur le plan immobilier.
Le phénomène de métropolisation propre aux grandes villes les impacte dans une moindre mesure. Elles entrent déjà dans l’ère post-béton pour offrir des aires urbaines apaisées. Chez TOLEFI, nous prenons en compte ces évolutions sociétales et nous attachons tout particulièrement à conjuguer production de logements, qualité de vie et bien-être au quotidien avec des opérations qui bénéficient d’environnements naturels préservés.
Nos récents programmes Le Domaine, Escale Nature, Novallende et Canopée Bagatelle attestent de notre vocation à offrir le meilleur du vivre-ensemble.
Date : 1er septembre 2020